Chiens : Levrier Afghan

Chiens : LEVRIER AFGHAN 

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Quelle est l'histoire du Levrier Afghan?
Selon la légende, il aurait été choisi par Noé, au moment du Déluge, pour faire partie des passagers de la fameuse Arche. Le souvenir de cet honneur peut encore se remarquer sur certains sujets, qui présentent une marque blanche en tête, la "marque divine".
Pour autant, il n'est toujours pas possible actuellement, en dépit de nombreuses recherches menées par des passionnés, d'avoir une idée un peu précise de son ancienneté.
Ceux qui ont privilégié les caractéristiques de la race ont tendance à penser qu'il serait issu d'un croisement entre des lévriers de type saluki et des chiens de berger à poil long. Ils se fondent notamment sur certaines particularités morphologiques qui font de l'afghan un lévrier assez atypique. Ainsi que sur des caractéristiques de comportement : le prof. C. J. Stelzer, spécialiste de la race, a noté, parmi des afghans directement importés de leur région d'origine une tendance à tourner autour d'un troupeau pour le rassembler, un retour atavique de leurs origines bergères ! Il est possible que parmi les premiers sujets importés en Occident, il se soit trouvé des spécimens aux origines douteuses, car beaucoup d'autres, face à du bétail, n'ont que trop une tendance naturelle à le poursuivre. Même s'il fallait retenir un apport de bergers, on ne saurait le dater.
Diverses pistes historiques ont été suivies sans beaucoup de succès. L'une d'entre elles se fondait sur l'existence de fresques vieilles de 2500 ans, dans le nord-ouest de l'Afghanistan, où auraient figuré des silhouettes d'afghans. Une enquête serrée de spécialistes américains a permis de conclure que dans la région citée, il n'existait pas de grottes. Dans le sud du pays, on a effectivement trouvé des fresques rupestres, mais bien moins anciennes, et où il est bien difficile de reconnaître la figuration d'un afghan.
Selon une autre piste, un papyrus égyptien vieux de 5000 ans décrivait un afghan : il s'est avéré depuis qu'il s'agissait de la description de babouin, animal sacré dans l'ancienne Egypte.
Des indices anciens de lévriers afghans, il n'en manque pourtant pas.
Mais tous concernent des spécimens à poil ras ou frangé. On en est finalement réduit à penser que l'afghan est une adaptation de ces derniers à un milieu très particulier, au climat rigoureux et au relief accidenté. Ce qu'on ignore totalement, c'est le moment approximatif de cette adaptation.
En effet, l'afghan a été connu relativement tardivement par la cynophilie. Le premier afghan authentique a débarqué en Grande-Bretagne en 1907. Il s'agit du fameux Zardin, qui avait déjà fait sensation dans des expositions en Inde et fut présenté à la reine d'Angleterre. Il n'a pas eu malheureusement de descendance à la hauteur de ses qualités, mais il a servi de modèle pour, la rédaction du premier standard, description des caractéristiques de la race. 
Depuis, ce standard a été révisé mais il reste toujours largement inspiré de Zardin. Avant lui, divers lévriers "afghans" avaient été présentés dans des expositions anglaises : des commentateurs les ont tour à tour comparés tantôt à des setters irlandais, tantôt à des bob-tails. C'est dire qu'ils n'avaient que peu à voir avec le lévrier afghan, sinon de provenir d'Afghanistan ou de régions avoisinantes.
Ce Zardin n'était pas une exception. Un des premiers récits de voyage dans une région proche de l'Afghanistan, contient une aquarelle d'un guerrier afghan accompagné d'un lévrier typique : elle date de 1809, un siècle avant sa venue. Cette aquarelle constitue le seul témoignage tangible de ce que l'afghan n'avait pas attendu la cynophilie pour exister.
Il ne s'est implanté en Europe que dans le courant des années 20, lorsque plusieurs officiers de l'armée des Indes ont ramené en guise de souvenir de leur carrière orientale des lévriers afghans — l'Afghanistan étant devenu indépendant en 1919. En 1927, le Kennel club anglais inscrivait 20 afghans ; l'année suivante, déjà 65. Parmi les pays pionniers, il faut citer les Pays-Bas et l'Allemagne (dès 1927), les pays Scandinaves et les Etats-Unis (après 1930). La France est entrée dans l'arène en 1936.
Mais jusque dans les années 60, l'afghan n'a été réellement connu que par un petit cercle de cynophiles. Etant donné son look, il était impensable qu'il ne connaisse pas une plus vaste diffusion. Il faut dire que malgré l'extraordinaire diversité de l'espèce canine, il est finalement rare de trouver des races aussi radicalement distinctes de toutes les autres que l'afghan en son temps — ou le shar peï ces dernières années.
Nous nous sommes habitués à sa silhouette, qui n'en reste pas moins atfssi originale aujourd'hui qu'hier. Elle aurait même tendance à le devenir encore plus, originale : il est très rare pour ne pas dire impensable qu'une sélection cynophile se donne pour but de banaliser le look d'une race. Il suffit de voir défiler quelques photos datant des années 60, 70 et même 80 pour que l'évolution de l'afghan lors de ces trente dernières années saute aux yeux.
L'afghan d'aujourd'hui possède une fourrure incroyablement développée en longueur, en épaisseur et d'une diversité de coloris qui ne doit pas avoir beaucoup d'équivalents dans l'espèce canine. Les éleveurs américains sont passés par là et détiennent sans conteste le leadership en matière de sélection d'afghans.
Le contraste entre des lignes aérodynamiques et une fourrure de chien de luxe est de plus en plus saisissant. Il faut bien dire que l'abondance des poils ne favorise pas précisément la pénétration dans l'air : pour qu'il redevienne un vrai coursier, il faut raser périodiquement l'afghan.

Quel est le caractère du Levrier Afghan ?

Le caractère a autant évolué que le look. L'afghan était à l'origine un chasseur impétueux ; des déserts, il poursuivait la gazelle et le Lèvre ; des montagnes, ses proies de prédilection se nommaient plutôt le mouflon, la chèvre sauvage et même l'once, ou panthère des neiges. Certes plus petite que le léopard des régions tropicales, mais il n'y a pas de doute que ce lévrier avait un caractère vraiment trempé. Les premiers promoteurs britanniques de la race ont d'ailleurs pu en exagérer la férocité. Certains spécimens venus en France au début des années 70, alors que l'afghan était encore peu connu, se révélaient des gardiens intraitables et même plus, des chiens de défense pleins d'agressivité. Mais c'est dans le fond un animal d'apparat et il n'est pas exagéré de dire que les expositions ont joué un rôle majeur dans la sélection d'un caractère sociable et patient. Il est évident qu'un animal peu maniable qui ne se laisse pas volontiers toiletter chaque jour ni examiner à loisir par un juge, qu'on ne peut faire côtoyer des congénères ou du public ne pourra être retenu comme reproducteur.
L'afghan d'aujourd'hui est devenu un animal agréable à vivre, silencieux et calme qui fait son possible pour faire oublier sa haute stature dans un appartement. Il adore le confort et les coussins moelleux pourvu qu'il ait par ailleurs la possibilité de se défouler suffisamment. Mais il ne faut jamais perdre de vue qu'on ne peut avoir un beau sujet sans le faire vivre à la maison. Un afghan qui vit dans le jardin n'aura jamais la somptueuse fourrure qui constitue l'originalité majeure de sa race.
On le trouve parfois dédaigneux ou froid. C'est vrai qu'il se montre assez souvent indifférent envers les inconnus, ne répondant pas à leurs sollicitations. Et puis, comme les autres lévriers de type asiatique, il n'est pas forcément très expansif dans ses témoignages d'affection. Il reste dans le fond un seigneur épris de liberté. Mais qu'on ne s'y trompe pas, il est profondément attaché à ses maîtres. D'ailleurs, nombre afghans sont bien moins méfiants et s'il ne faut pas s'attendre à ce qu'ils sautent sur les visiteurs en quête de caresses, ils leur font volontiers bon accueil.
Intelligent, observateur, possédant une grande mémoire, il s'éduque sans difficulté, sans se montrer vraiment très têtu. Il s'adapte partout, en ville, en pavillon ou la campagne. Si Ton ne veut pas d'un sujet d'exposition, on peut en faire un grand sportif, adorant la course en cynodrome ou mieux la poursuite à vue sur leurre, plus conforme à ses instincts ancestraux. Lesquels, si l'environnement est favorable, peuvent resurgir : en retrouvant son atavisme de chasseur il peut devenir fugueur

Comment toiletter rapidement et efficacement son Levrier Afghan?

L'acquéreur d'un afghan ne peut ignorer les contraintes d'entretien de son pelage. S'il n'a jamais eu que des chiens à poil court, il ne faudrait qu'il prenne un afghan qu'après mûre réflexion. Non sans avoir assisté à une séance complète de toilettage. Ce n'est pas par hasard si un certain nombre d'éleveurs et de spécialistes d'afghans sont des toiletteurs — c'est souvent leur passion pour ce chien d'exception qui les amenés à embrasser cette profession.
Les démêlages et brossages sont fréquents et minutieux, et même les bains, si Ton veut un sujet spectaculaire. Il faut savoir qu'on huile régulièrement les mèches des spécimens d'exposition.
Son élégance ne supporte pas la MOINDRE NÉGLIGENCE : POUR LUI, LE TOILETTAGE SE PRATIQUE DE PRÉFÉRENCE AU QUOTIDIEN.
Pour les bains, tout dépend de la robe, il en est de plus ou moins salissantes, de la fréquence des sorties du chien ... et de vos exigences. En fonction de ces paramètres, il faut le baigner tous les 5 jours à tous les mois. Pour le sécher, on évitera de le frotter, ce qui feutrerait la fourrure.
Voici mes conseils d'entretien afin d'avoir des résultats spectaculaires :
✔️ shampoing : Aquarosa Pro
✔️ Après-Shampoing : Aqua Dolce
✔️ Spray de finition/brossage/démêlage : Mix pink

Quelles sont les couleurs du Levrier Afghan? 

Au chapitre des coloris, le standard signale laconiquement que "toutes les couleurs sont admises". Il faut toujours se référer au chapitre décrivant les teintes désirables de la truffe et des yeux, pour avoir une idée plus précise de ce libéralisme. "Toutes couleurs" ne signifie généralement pas "n'importe quelle robe". Dans le cas de l'afghan, on admet une truffe foie et des yeux dorés : voilà qui exclut les robes bigarrées, nommées arlequin ou merle, qui s'accompagnent souvent d'yeux bleus. En revanche, on ne peut deviner que les robes bleues ou gri-sonnées sont acceptées : elles vont de pair avec une truffe ardoisée, c'est-à-dire pas tout à fait noires. Finalement, bien que quelques robes ne soient pas permises (merle), peu appréciées (à grandes taches blanches) ou a priori absentes (marron), la gamme est vraiment immense, souvent précieuse : l'or y est plus répandu que l'argent, le platine ou l'ivoire. Quant au "domino", il ne faut pas croire qu'il s'agit d'une robe à damiers, ou à points noirs. Tanjores Domino était le nom d'un fameux étalon finlandais, qui fit une carrière exceptionnelle aux USA : il portait une robe jusqu'alors inédite, un crème souligné de quelques charbonnures gris-bleu, la truffe étant marron.

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